Chris Anderson, poursuit sa quête de la martingale dans l‘économie du web et pense l‘avoir trouvée avec le gratuit. Ça se dit “free“ en anglais et permet de parler de freeconomics. En voici un avant-goût:
“The rise of “freeconomics” is being driven by the underlying technologies that power the Web. Just as Moore’s law dictates that a unit of processing power halves in price every 18 months, the price of bandwidth and storage is dropping even faster. Which is to say, the trend lines that determine the cost of doing business online all point the same way: to zero.”
Comme toujours avec Anderson, ses thèses méritent qu’on y fasse attention même si on n’est pas d‘accord avec tout ce qu’il avance.
Une chose est sûre: le thème est essentiel et le débat risque d’être animé.
Quelques liens intéressants:
Outre l‘article que vous trouverez ici , il a donné une entrevue à la télévision assez bien menée.
Alex Izkold de Read/WriteWeb a écrit deux billets dans lesquels il s‘inquiète des dangers du gratuit et nous invite à nous méfier.
Aussi le livre d‘Olivier Bomsel apporte des lumières intéressantes: Gratuit! Du déploiement de l‘économie numérique.