La volonté, la capacité d’entreprendre et, surtout, le fait de se lancer vraiment, sont des qualités essentielles (et pas seulement liées à l’argent). Il s’agit, en fait de réunir des ressources et de créer quelque chose de plus, de nouveau.
Voici 5 conseils de base (trouvés sur ce billet de l’Atelier-us) donnés par Ben Casnocha , un étudiant entrepreneur de San Francisco qui a monté sa première boîte à 12 ans et publié son livre My Start-up Life à 19 ans:
1 – Entreprendre est une philosophie de la vie plus qu’une idée de business. Un entrepreneur essaye de changer le status quo, pose des questions et “essaye de rendre le monde meilleur”.
2 – Mieux vaut agir que rêver. Il s’agit de faire et de réaliser.
3 – Les gros business plan ne servent plus à rien. Ils sont caducs dès qu’on les imprime, mais ils sont un bon exercice pour concevoir son entreprise.
4 – L’âge ne compte pas vraiment. Ce qui compte c’est ce que vous faites et ce que vous produisez.
5 – C’est toujours une bonne chose de lancer un business en période de crise. Les gens font de nouveau attention à l’essentiel et c’est là que se présentent les meilleures opportunités.
Voilà dites on ne peut plus simplement des choses qu’on entend souvent à Silicon Valley et dans la région de San Francisco.
Elles méritent réflexion aussi bien pour ceux et celles qui aimeraient devenir patron/ne que pour ceux et celles qui veulent lancer des initiatives à but social. Le plus fascinant peut-être étant cette catégorie des entrepreneurs sociaux qui entendent gagner de l’argent tout en agissant pour le bien de la société.
Ils revendiquent la “triple bottom line : people, planet, profit”, les gens, l’environnement et le profit et mesurent leur succès en fonction de ces trois critères et pas seulement des bénéfices réalisés en espèces sonnantes et trébuchantes.
Pour avoir plus d’informations sur l’expérience de Ben Casnocha.